Message innu

À travers tout cela, j'entends le battement de la terre. Et à travers son tambour, un rêve de liberté, le lourd pas de la survie. Il y a le sentier profond du petit peuple innu (montagnais). Mes enfants sont tes propres enfants. Ils sont le sang qui coule dans tes veines. Ils font battre ton cœur.

La vie est un long portage; une lumière dans la nuit; une musique dans le silence et une caresse dans le vent. Partage cette journée comme si c'était la dernière. Le seul langage que je connaisse, c'est l'amour pour la vie, le respect pour la terre.

Je veux trois sœurs; l'eau, la terre, l'air. Si tu vends l'âme de la terre, tu ne possèdes pas la liberté qui nourrit ton esprit. Tu tournes en rond sur ta propre vie, et tu cherches la clé qui va t'ouvrir la porte de l'espoir.
Rita Mestokosho, poétesse

Principalement poète de la littérature orale, elle a publié, en 1995, un recueil intitulé Eshi Uapataman Nukum

Bonjour Zoé

Bien superbe ce poème
Et c'est quand que tu nous en écris un... ?
Chiche, on fera un concours !
Le ou la meilleure gagne un voyage ... au pays des Innu..

Amitiés

Sigmund

Inventer un espace libre
Au coeur du silence
Amants d'automne
Prendre la vie qui est là
Écouter ton coeur qui bat
Au delà des mots
Au delà des possibles
Me reposer dans tes bras
Battement d'aile effleuré
De la musique qui nous lie

Voilà Sigmund, un poème de moi, composé dans l'immédiat, en ce dimanche soir d'une journée froide d'automne, un soir d'octobre. Chez moi, il fait chaud mais dehors, le temps est glacial! J'écoute les Canons de Pachelbel et je pense à hier, nous sommes déjà demain...et demain est tellement loin...

Bonne semaine, Zoé

Bonjour Zoé

Tu as vraiment un talent de poétesse.

Pas eu le temps et ne trouvant pas l'inspiration pour l'instant
J'ai celui la à t'offrir

O moine fainéant! quand saurais je donc faire
Du spectacle vivant de ma propre misère
Le travail de mes mains et l'amour de mes yeux!

Mais ..bon heuuu

Amitiés

Sigmund Baudelaire..

Merci Sigmund, à plus tard ! Zoé

Mon bel inconnu me diras- tu ce soir
Quant la pivoine rencontreras le lys !
Lisse mon cœur de tonamour infini !
Infiniment insuffisant bel inconnu !
Etoile de mon Etre toilé de ta toison.
Si d’or, et d’ors et déjà tu as enflammer
Mon cœur si chaud de tonamour !
Il brûle de hâte toi Silence, oh patience !
Calendrier ton aire d’enneiger, pitié !
Avant que je fonte caresser la senteur,
Et la douceur de ton cou épaulant
Pour l’instant, savamment pivoinant !
C.N

Ecrit : Le 4 mars 2006 à 16h06 et 6 secondes
Pour mon futur époux non encore rencontré de
Celle qui l’écrit, pour lui qui n’est pas marier,
Ni n’a de compagne ! Na !!!!!!(Sans ambiguïté)

BONJOUR
J’ai hésitais de l’envoyé, mais bon il y avait 40 cm de neige ce matin à Besançon, mais le soleil est passer un peu se les geler ; nous les réchauffent !
Pour gagner un voyage au pays des : qu’ois ??????
Bises enneigées
Marielaine

Dégel et vent

C'est fini: la neige fond .
L'herbe drue redresse la tête.
Au jardin, ma trace est déjà disparue.
Nul n'y pense que le vent.

Je quitte la maison en sommeil,
Je pousse Lucie vers la place,
Les chemins ruissellent d'ocre et de fer.
Nul n'y passe que le vent.

Que les saveurs de la vie l'habitent,
Et les saisons donnent couleur à son âme!
Que ses rires s'élancent et gagnent,
Repoussant la plainte du vent!

Mais la terre est là qui prend garde
aux vies infinies des fourmis,
et nul homme ne se sent si seul
qu'il n'ait pour compagnon le vent...

note de l'"auteur": Lucie est mon adorable petite- fille d' un an. J'aurais pu écrire l'enfant...

Va auprès des gens
Apprends d’eux
Aime les
Commence avec ce qu’ils savent
Construis sur ce qu’ils sont
Mais des meilleurs Leaders
Quand leur tâche est accomplie
Leur travail fait
Les gens se diront :
“Nous l’avons fait nous-mêmes”.

Poème chinois datant de 2000 ans