En effet il y a le rapport de l'inserm ... trés décrié ... par les psychanalyste
forcement c'est cette therapie qui est le plus mis a mal.
Mais surtout ce qui est interessant dans ce rapport c'est qu'i n'y a pas tellement UNE therapie mise en exergue mais plutot des therapie en rapport avec des pathologie différentes.
Simple exemple: la depression. Il n'y en a pas une mais plusieurs.
La depression due a des causes interne (neurologique) due a des causes externes (evenement(s))
Pour la premiere un suivi psychiatrique pour "re doser" les mollecules faisant defaut (temporairement... ex suite a un accouchement) et par ailleurs un suivi cognitif pour ne pas christalliser ses nouveaux rapport avec soit seraint le plus pertinant.
Pour le second (depression interne) un suivi a obédiance plus psychanalytique serait plus ... sauf dans le cas de melancolie ou là c'est gravement déconseillé (ainsi que les therapies cognitives).
Là ou le rapport pour nous etudiants a l'epoque nous a vraiment posé question c'est qu'il ont pris une population s'etant presenté pour une demande de prose en charge psychanalytique. Devant le peu de place disponible tous n'ont pas eu de suivi. L'enquete a suivi a nombre egal les personnes ayant beneficié d'un suivi ... et celle n'ayant pas pu acceder au suivi.
3 ans plus tard ils ont recontacté tout le monde pour savoir ou ils en étaient... et bien la différence entre les 2 groupes n'est pas significative.
Kesako? ca signifie que je soit pris en charge psychologiquement ou pas j'ai le même nombre de chance de m'en sortir.
Alors suite a ces resultats un peu deroutant (du coup on sert a rien... prise en charge ou pas les gens vont mieux a % egal) une hypothese a été emises (ben ouais faut bien justifier notre existence) c'est que ces personnes avaient fait une démarche de demande de suivi, ont eu un premier entretien.. qui n'a pu aboutir sur un suivi , mais ont "été pris en compte" et le fait qu'elle fase la demande d'un suivi prouve qu'elle est déjà dans une dynamique de changement.
Voilou